Il y a quelque chose qui sombre
Et j’espère que ce n’est pas moi
Le clapotis se transforme
Et bientôt le tsunami est à nos pieds
Ceux qui dorment sont emportés
Ils ne se réveilleront plus
Ceux qui crient encore au loin
N’ont plus les réponses
Les questions se sont perdues
Entre le rivage et la mer
La plage à disparue
Il y a encore un feu de joie
Qui brûle malgré la tempête
Mais on dit qu’il ne pourra pas
Réchauffer tous les autres autour
Au delà du troisième cercle
C’est la Nuit qui domine
Et dans le noir
Ce sont les monstres de l’enfance qui font loi.
Peut-être qu’il n’y aura même
Plus aucun lendemain
Ceux qui dorment au-delà du troisième cercle
Disparaissent sans un bruit.