C’est beau une ville la nuit
Ces lumières flottantes
qui percent à jour le corps des pervertis
Vois ce corps à corps
ces valses d’images et de profits
qui s’apaisent
enfin
sur les visages ébahis
Lorsque les bruits ne sont plus
Musiques
et que l’on ne peut plus
Sourire
C’est l’heure d’aller dormir.