Le Havre me semble déjà Quotidien. Les poètes se retrouvent et il n’y a plus de Peurs à être soi, nous gardons Tout.e.s les yeux ouverts et curieux sur l’autre, celui qui n’est pas moi. Pourtant, les poètes seraient de mauvai.se.s amant.e.s. Nous ne savons écouter que les Vibrations de nos corps à l’approche de l’autre, les Bruissements à la fusion de nos esprits. Nous cherchons le Dialogue inconditionnel dans nos Monologues sans fin, la Phrase, le Verbe, qui nous ferons nous aimer pour toujours. Insondables besoins d’Amour.